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Décidément, le virus de l’écriture a fait une nouvelle adepte. Après trois romans depuis 2011, Muriel de Foucaud sort un quatrième opus, baptisé « On me dit », paru aux Éditions Publibook. La Chinonaise de naissance, partie étudier le droit à la faculté d’Assas, revenue dans la région après un parcours professionnel essentiellement pédagogique, que ce soit dans la formation professionnelle ou auprès d’étrangers, a souvent trouver sa source d’inspiration dans ce qu’elle a vécu. Ce fut le cas en particulier dans « Les Enfants de l’ubac », où elle mettait en scène de façon poignante des enfants en difficulté. Depuis, ses écrits s’orientent vers des romans à suspense, qu’elle maîtrise de belle manière.
Deux frères aux destins entremêlés Dans « On me dit », Muriel de Foucaud met en scène deux êtres que tout semble opposer, même s’ils sont frères. L’un est médium, très impliqué dans ce que ses dons révèlent. L’autre a des inspirations plus superficielles, et se trouve enclin à déraper souvent. L’auteure, au fil du récit, ne cesse de faire se croiser les chemins, les destinées de ses personnages, « pour mieux en révéler les dissensions, mais aussi pour mieux les réunir dans une conclusion où se jouent à la fois réconciliation et rédemption », comme le confie Muriel de Foucaud.
Deux frères aux destins entremêlés Dans « On me dit », Muriel de Foucaud met en scène deux êtres que tout semble opposer, même s’ils sont frères. L’un est médium, très impliqué dans ce que ses dons révèlent. L’autre a des inspirations plus superficielles, et se trouve enclin à déraper souvent. L’auteure, au fil du récit, ne cesse de faire se croiser les chemins, les destinées de ses personnages, « pour mieux en révéler les dissensions, mais aussi pour mieux les réunir dans une conclusion où se jouent à la fois réconciliation et rédemption », comme le confie Muriel de Foucaud.